Les étudiants de l’association C’BD étaient présents à la première édition du salon de la littérature érotique de Paris organisé par la Cherry Gallery. C’est avec leur fanzine sulfureux Bilboquet qu’ils ont été invité pour vous rencontrer tout au long de cette journée à la galerie « Art en Transe » dans le 3e arrondissement de Paris.
Le C’BD et Bilboquet
Le C’BD, l’association étudiante de l’école, permet aux étudiants de développer leurs projets personnels dans la joie et la bonne humeur au sein d’un groupe uni. C’est ainsi qu’est né le fanzine érotique Bilboquet qui rassemble les différents styles des étudiants au niveau grahiques et narratifs dans un ouvrage complet. Pour cette première édition, Marine des Mazery, Margaux Sourisseau, Kelly Calvez, Sarah Ulrici, Emma Geisert, Maël Nahon, Antonin Seraut, Camille Brunier, Lounis, Nico, Chad Poroi, Charlotte Valerio, Matthias.B, Arthur Dorémus et Marina Savani ont illustré les questionnements luxurieux du quotidien dans cette oeuvre collective.
Les auteurs de la littérature érotique
A leur côté, une dizaine d’auteurs avec des ouvrages les plus représentatifs de la littérature érotique contemporaine étaient présents : Arthur Vernon (L’Amour, la vie et le sexe), Marion Favry (S’occuper en t’attendant), Eve de Candaulie (Infidélité promise), Julia Palombe (chanteuse de rock érotique et auteure de Au lit citoyen !), B.Sensory (ebooks érotiques connectés à un sextoy), Stella Tanagra (Sexe cité), Daniel Nguyen (auteur de différentes nouvelles dans les Osez 20 histoires…), Philippe Lecaplain, Octavie Delvaux, Eva Delambre, Julie-Anne De Sée, Charlie (lecture érotique sur LSF Radio), Isa l’Aristochatte (artiste burlesque) et bien d’autres.
Pour l’occasion, Alex Varenne exposait sa série d’acrylique sur toile « Strip Art ». Femmes ou hommes, les personnages de Varenne s’exposent dans la crudité de leurs pulsions qui n’a guère d’équivalent dans le neuvième Art. Depuis 2000, Alex Varenne consacre tout son temps à la peinture. Tout en restant gestuel, son trait est très précis et rappel la calligraphie chinoise ou japonaise. L’érotisme n’agresse pas le regard mais est empreint d’une sérénité mêlée de malice.
Tweeter